Accréditation et certification
Accréditation et certification: la garantie de qualité de notre offre de soins
L'hôpital Aboujaoudé est soumis au contrôle du ministère de la Santé libanais. Il est engagé dans le processus d'accréditation organisé par la Haute Autorité de Santé (HAS) au Liban.
Haute Autorité de la Santé
Depuis 2002, l'hôpital Aboujaoudé est accrédité par le ministère de la Santé. Cette certification atteste de la qualité de l'offre de soins et de la réception de l'hôpital.
Qu'est-ce que l'accréditation?
L'accréditation est un système d'évaluation externe des prestations de soins et des services d'un établissement de santé qui est soumis à l'ensemble du personnel et des médecins.
Des vérifications sont effectuées en continu dans tous les services de l'établissement afin de maintenir le plus haut niveau de sécurité et d'efficacité des soins aux patients.
Pourquoi l'accréditation?
La recherche constante de la qualité imposée par l'hôpital Aboujaoudé impose à tous les acteurs de respecter des standards strictement définis. En tant que tel, la certification est un engagement:
Assurer la qualité de nos services médicaux, techniques ou administratifs
Faire une amélioration réelle et continue de notre pratique quotidienne afin de sécuriser nos soins et d'obtenir satisfaction et confiance des patients.
ACTIONS EXCEPTIONNELLES IDENTIFIÉES par l'ACCRÉDITATION dans son RAPPORT DE SEPTEMBRE 2011
- Un engagement clair de la part de la direction dans l'approche qualité qui couvre l'ensemble de l'hôpital.
- Des efforts considérables ont été enregistrés depuis avril 2011 jusqu'à maintenant à tous les niveaux, ce qui a entraîné des changements positifs dans la liste de plus de 140 références liées à la mise en œuvre et à l'achèvement de la majorité des actions d'amélioration proposées dans le rapport d'autoévaluation.
- L'équipe pluridisciplinaire productive au travail reflète un engagement sérieux à améliorer le système, à améliorer la sécurité des patients et à développer des compétences personnelles. Ajoutez à cela le nombre de rapports d'événements indésirables qui augmentent chaque année depuis que les personnes ont compris que les rapports ne sont pas liés à des mesures disciplinaires.
- Cohérence dans l'évaluation de la satisfaction des patients.
- Surveillance régulière de plus de 40 indicateurs de performance clés (du PAQ 2009-2010-2011) avec la définition d'une cible pour chaque indicateur. Ces KPI reflètent la qualité des soins prodigués aux patients, la satisfaction des patients, les procédures de conformité et la prévention des risques.
- Le plan de formation interne 2011 cible toutes les catégories professionnelles et comprend environ 60 thématiques et cohérence dans la mise en œuvre de l'acquisition des connaissances après chaque test de formation.
- Définition des objectifs de qualité suivants: programme d'orientation, évaluation des performances, tests de connaissances et documentation des actions correctives.
- Développement d'un plan d'action pour le plan stratégique de chaque projet. L'examen annuel de la mise en œuvre du plan stratégique est documenté avec la notation des ressources demandées, inattendue (plan blanc),% d'objectif atteint et% de réussite.
- Des réunions régulières, plutôt à des intervalles hebdomadaires du comité de pilotage (CDD) et 178 sujets codés ont été traitées et suivies dans le CDD, depuis 2005 (liste numérique des questions couvertes par le CDD).
- L'échéance du suivi mensuel documenté de la budgétisation et du suivi mensuel est documentée et communiquée au CDD et à l'Organe directeur. Ce suivi, qui est effectué depuis 1998 jusqu'à maintenant, comparé à l'année précédente et est, inclus les changements de la production et les charges avec les variations des paiements.
- Régularité depuis 10 ans de l'accompagnement du consultant qualité dans la mise en place du système de gestion de la qualité (1 réunion de la semaine du consultant avec qualité responsable).
- Organisation performante du service d'information (codage numérique alpha, indexation, accessibilité sur le système central, recherche par mot-clé ou titre,) et familiarisation des professionnels dans la recherche des cadres de référence. Le codage des documents est déterminé par une qualité responsable.
- Réaménagement et acquisition de nouveaux équipements et équipements selon la planification stratégique de l'établissement selon les normes internationales: Bloc opératoire et Cathédrale, Salle de réveil, Hémodialyse, Gynécologie - Unité d'Obstétrique, Soins Intensifs, Médecine-Chirurgie ...
- L'accès électrique à la salle d'opération et une salle d'opération sur le 4 est réservé uniquement aux opérations urgentes.
- Système "Finger codes" pour accéder aux services nécessitant une limitation d'accès.
- Système d'indication clair et adapté au sein de l'hôpital.
- Fourniture d'environ 100 caméras dans l'hôpital avec accès de surveillance réservé aux responsables.
Indicateurs qualité
Notre engagement contre la douleur
Les équipes médico-soignantes de l’Hôpital Aboujaoudé sont engagées dans la lutte contre la douleur avec des actions menées au quotidien sur le terrain.
Évaluer la douleur
Pendant leur hospitalisation, l’évaluation de la douleur des patients est systématique et quotidienne. Pour cela, une réglette, graduée de 0 à 10 leur est présentée. Elle leur permet d’indiquer l’intensité de leur douleur.
Dès leur arrivée, les patients sont sensibilisés à l’utilisation de cette réglette par une infirmière. Leur douleur est évaluée aussi longtemps qu’ils en expriment le besoin.
Soulager la douleur
Les médicaments contre la douleur sont des antalgiques. Même s’ils ne la suppriment pas toujours totalement, ces médicaments soulagent la douleur. La morphine est un antalgique puissant. C’est un médicament et non une drogue. Elle fait partie des médicaments recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Correctement dosée, elle permet au patient de subir des actes invasifs sans gêne ni douleur.
Une priorité au quotidien
La lutte contre la douleur est une démarche collective qui implique au quotidien l’ensemble des acteurs de l’hôpital.
Lutte contre les infections nosocomiales
Une sécurité maximale contre les risques infectieux
Les progrès de la médecine exposent les malades à divers risques dont les risques infectieux. Afin de garantir sécurité et, qualité des soins, un Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN) existe au sein de l’Hôpital Aboujaoudé.
Qu’est-ce que les infections nosocomiales ?
Les infections contractées dans un établissement de santé et associées aux soins sont appelées « infections nosocomiales ». Quelle que soit la rigueur dans le travail et les efforts réalisés par l’établissement, le risque-zéro n’existe pas. C’est pourquoi la prévention est primordiale.
Le Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN)
Le Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN) de l’Hôpital Aboujaoudé existe depuis plus de 10 ans. Il édicte des recommandations suivies dans les divers services de soins. Ces recommandations répondent aux normes de sécurité infectieuse libanaises et françaises.
L’hôpital dispose également d’une équipe opérationnelle d’hygiène. Elle participe à des enquêtes organisées entre autres par le Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales (CLIN).
Lutte contre la douleur
Notre engagement contre la douleur
Les équipes médico-soignantes de l’Hôpital Aboujaoudé sont engagées dans la lutte contre la douleur avec des actions menées au quotidien sur le terrain.
Évaluer la douleur
Pendant leur hospitalisation, l’évaluation de la douleur des patients est systématique et quotidienne. Pour cela, une réglette, graduée de 0 à 10 leur est présentée. Elle leur permet d’indiquer l’intensité de leur douleur.
Dès leur arrivée, les patients sont sensibilisés à l’utilisation de cette réglette par une infirmière. Leur douleur est évaluée aussi longtemps qu’ils en expriment le besoin.
Soulager la douleur
Les médicaments contre la douleur sont des antalgiques. Même s’ils ne la suppriment pas toujours totalement, ces médicaments soulagent la douleur. La morphine est un antalgique puissant. C’est un médicament et non une drogue. Elle fait partie des médicaments recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Correctement dosée, elle permet au patient de subir des actes invasifs sans gêne ni douleur.
Une priorité au quotidien
La lutte contre la douleur est une démarche collective qui implique au quotidien l’ensemble des acteurs de l’hôpital.